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Actualités et histoire économique récente

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La reprise de l’inflation en 2021 et 2022

1. Le pouvoir d’achat augmente-t-il réellement ?

Ce numéro de Explique-moi l’économie cherche à expliquer la différence entre les chiffres qui nous disent que le pouvoir d’achat augmente et le ressenti de la population qui pense que le pouvoir d’achat diminue. Il sera d’abord montré que le pouvoir d’achat augmente en moyenne de moins en moins rapidement au fil des années. Nous rentrerons ensuite dans le détail des sources de revenus pour montrer que des inégalités sont présentes dans la répartition des salaires, des revenus du patrimoine et des revenus issus de la redistribution. Nous étudierons ensuite le retour de l’inflation et montrerons deux éléments qui explique que l’inflation perçue est plus importante que l’inflation officielle. D’abord, la méthode de calcul de l’inflation se base sur un panier moyen et ne reflète pas les inégalités de consommation entre les personnes selon leur revenu. Ainsi, les produits qui ont le plus augmenté sont ceux qui sont le plus consommés par les personnes aux revenus les plus faibles. Ensuite, les produits qui ont été le plus concernés par l’inflation correspondent à des achats répétés au quotidien, ce qui vient renforcer la sensation de perte de pouvoir d’achat.

2. 2022 et la reprise de l’inflation : Les raisons

Ce numéro de Explique-moi l’économie explique pourquoi l’inflation est repartie à la hausse fin 2021 et en 2022. Après un état des lieux de l’inflation au cours de la dernière décennie, une première raison à cette reprise est détaillée, il s’agit de la reprise économique suite à la crise due au Covid-19. En effet, du côté de l’offre, les entreprises doivent faire face à des problèmes d’approvisionnement provoqués par les confinements qui ont eu lieu en Asie au cours des années 2021 et 2022, des retards dans les transports maritimes avec un manque de conteneurs et de personnels dans les ports. Ces problèmes d’approvisionnement concernent tous les secteurs, notamment les semi-conducteurs. Avec la reprise économique, la demande est repartie à la hausse. La croissance élevée et la baisse du chômage ont permis à la consommation et à l’investissement de redémarrer, mais les entreprises ont du mal à suivre, notamment en raison des problèmes d’approvisionnement et du manque de personnels auxquels doivent faire face certains secteurs. Ces difficultés liées à l’offre et la hausse de la demande ont entraîné une augmentation de l’inflation à partir de la fin 2021. En 2022, cette inflation s’est accélérée, notamment en raison de la guerre en Ukraine. En effet, le pays étant un important exportateur de céréale, la hausse des prix des matières premières agricoles a été accentuée. La Russie étant un important exportateur de gaz et de matières premières énergétiques, la hausse a aussi été accentuée. Enfin, une dernière raison pouvant expliquer l’inflation actuelle est en lien avec les politiques de rachat d’actifs, les politiques de quantitative easing, menées par les banques centrales depuis les années 2010. Si l’on suit la théorie quantitative de la monnaie proposée par Irving Fisher, il semble que la hausse de la quantité de monnaie joue sur la croissance et sur le niveau des prix. Alors que la croissance est repartie à la hausse, c’est à présent les prix qui augmentent. C’est d’ailleurs pour cette raison que les différentes banques centrales ont mis fin à leurs programmes d’achat de titres et augmentent leurs taux d’intérêt directeurs.

3. 2022 et la reprise de l’inflation : Les conséquences et les mesures mises en place

Ce numéro de Explique-moi l’économie s’intéresse aux conséquences de l’inflation actuelle et aux mesures proposées pour y faire face. Il est d’abord expliqué que l’inflation entraîne une perte du pouvoir d’achat des français. Cette baisse est toutefois inégalement répartie dans la population : étant donné que les produits dont le prix augmentent le plus sont les matières premières énergétiques notamment le pétrole et le gaz, et agricoles, comme les céréales ou certains produits frais, les ménages dont une plus grande part est consacré à ces postes sont plus touchés par l’inflation. Ainsi, les ménages les plus modestes, les milieux ruraux et les personnes âgées connaissent une perte de leur pouvoir d’achat plus importante. Bien que les prévisions d’inflation prévoient que celle-ci ne devrait pas durer, les gouvernements prennent des mesures pour essayer de limiter la perte de pouvoir d’achat. Il est ensuite expliqué que les gouvernements font face à un dilemme : d’un côté, ils sont incités à agir pour éviter le mécontentement et une trop forte perte de pouvoir d’achat des habitants, d’un autre côté, ils souhaitent éviter une spirale prix-salaire, c’est-à-dire l’idée que si les salaires augmentent, les entreprises vont répercuter la hausse des salaires en augmentant les prix, ce qui entraînerait de nouvelles hausses de salaires et une inflation de plus en plus élevée. Les gouvernements ont alors choisi de se focaliser principalement sur les ménages les plus modestes. La loi sur le pouvoir d’achat du 7 juillet 2022 en France est alors présentée. Il est également souligné que l’absence d’indexation des salaires sur les prix a tendance à augmenter les inégalités, une autre solution serait alors d’essayer de mieux lutter contre ces inégalités pour faire en sorte que la majorité de la population ne perde pas en pouvoir d’achat. Enfin, il est présenté l’action des banques centrales. La Banque centrale européenne (BCE), tout comme la Réserve fédérale aux États-Unis ou les autres banques centrales, ont mis fin à leurs politiques d’achat d’actifs et ont augmenté leurs taux d’intérêt directeurs afin d’éviter une inflation trop élevée et respecter leurs objectifs de maîtrise de l’inflation, la plupart du temps à un niveau compris autour de 2%.

4. Les différents types d’inflation

Ce numéro de Explique-moi l’économie est dédié aux différents types d’inflation, avec l’inflation par la demande, l’inflation par les coûts, l’inflation importée et l’inflation monétaire. L’inflation par la demande se produit quand la demande augmente plus vite que l’offre. C’est par exemple le cas en période de plein emploi quand toutes les travailleurs disponibles ou tout le capital disponible est employé, au moment d’une reprise économique où les entreprises attendent d’être sûres de la reprise pour embaucher et investir à nouveau pour augmenter leur production, ou quand il y a des pénuries sur certains produits pour les consommateurs. L’inflation par les coûts se produit suite à une augmentation du coût de production des entreprises. Les entreprises répercutent alors la hausse de leurs coûts de production dans leur prix pour éviter une baisse de leurs marges. On rencontre ce type d’inflation par exemple suite à une hausse des salaires, du prix d’une matière première, du taux d’intérêt auxquels les entreprises empruntent ou suite à une pénurie d’une consommation intermédiaire. L’inflation importée se produit quand le prix des biens importés, comme matières premières ou consommations intermédiaires pour les entreprises ou comme biens de consommation finale pour les ménages, augmentent. C’est par exemple le cas suite à la hausse du prix d’une matière première importée, suite à la hausse du prix d’un produit importé consommé ou suite à la dépréciation du taux de change de la monnaie du pays importateur. L’inflation monétaire se produit quand la quantité de monnaie dans l’économie augmente plus vite que la production. Ce type d’inflation peut être compris à l’aide de l’équation quantitative de la monnaie proposée par Fisher. Celle-ci met en relation la quantité de monnaie en circulation dans l’économie et le niveau des prix. Cette inflation peut se produire par exemple dans une période où les taux d’intérêts auxquels les agents empruntent sont bas ou suite à des politiques de rachats d’actifs de la part des banques centrales avec les programmes de quantitative easing. Pour finir, nous expliquons que les différents types d’inflation peuvent être liés entre eux et que chercher à lutter contre un type d’inflation peut avoir un effet sur les autres types.

Économie internationale

La réforme mondiale de l’imposition des multinationales

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente la réforme mondiale de l’imposition sur les sociétés élaborée par l’OCDE en octobre 2021 et signée par 137 pays et prévoyant notamment la mise en place d’un impôt minimum sur les sociétés de 15%. Nous expliquons que cette réforme était nécessaire d’abord en raison de l’évitement fiscal mis en place par les multinationales, notamment par les géants du numériques, qui ont tendance à localiser leurs bénéfices dans les paradis fiscaux ou dans les pays à faibles taux d’imposition. Cette réforme était également nécessaire en raison de la concurrence fiscale que se livrent les États. Après avoir présenté le système d’impôt sur les sociétés actuel, nous présentons ensuite l’accord. Celui-ci comprend deux volets. Le premier volet vise à remplacer le système d’imposition en place en taxant les bénéfices des sociétés non pas en fonction des profits déclarés dans un pays mais en fonction de l’activité qui y est réalisée. Le deuxième volet vise à instaurer un taux d’imposition minimum de 15% applicables dans tous les pays sur les bénéfices des multinationales. Enfin, nous expliquons les critiques qui sont faites contre cet accord avec un taux jugé insuffisant et un accord bénéficiant en grande partie aux pays développés.

Thèmes de société

L’économie circulaire

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente le concept d’économie circulaire. Pour cela, nous partons de la définition donnée par l’ADEME, à savoir que l’économie circulaire consiste à produire des biens et des services de manière durable en limitant la consommation, le gaspillage des ressources et la production des déchets. Nous présentons alors les sept piliers répartis en trois domaines en illustrant chacun de ces piliers. Le premier domaine, l’offre des acteurs économiques, comprend quatre piliers. Le premier pilier concerne l’approvisionnement durable, à savoir un mode d’exploitation et d’extraction des ressources afin de limiter l’impact sur l’environnement. Nous expliquons alors que les entreprises s’engagent à privilégier des matières recyclées ou les circuits courts. Le deuxième pilier concerne l’éco-conception. Celui-ci consiste à prendre l’ensemble du cycle de vie d’un produit et de diminuer les quantités de matières et d’énergies utilisées pour chacune de ces étapes. Cela peut passer par l’allongement de la durée de vie du bien, par une réparation facilitée, un reconditionnement et un recyclage. Le troisième pilier concerne l’écologie industrielle et territoriale, c’est-à-dire un mode d’organisation interentreprise avec des échanges de flux ou une mutualisation de besoins. Cela peut par exemple passer par l’utilisation de rebuts de certaines entreprises comme matières premières pour d’autres. Le quatrième pilier concerne l’économie de la fonctionnalité. L’usage est alors privilégié à la possession, ce qui peut passer par des locations de services plutôt que par la vente d’un bien. Le deuxième domaine, consommer autrement, comprend deux piliers. Le premier pilier concerne la consommation responsable. L’acheteur tient alors compte des impacts environnementaux à toutes les étapes du cycles de vie d’un bien avant de l’acheter. Cela peut passer par un affichage environnemental, des labels territoriaux ou des monnaies complémentaires afin d’amener les consommateurs à acheter des produits durables et à moins gaspiller de ressources. Le deuxième domaine est l’allongement de la durée d’usage. Le consommateur est alors conduit à s’intéresser à la réparation des biens, à la vente ou au don de biens d’occasion. Le troisième domaine est la gestion des déchets avec un pilier, le recyclage. Différentes initiatives amènent les entreprises et les consommateurs à utiliser des matières premières issues de déchets, notamment dans le secteur du BTP où la loi impose la valorisation d’au moins 70% des déchets.

La crise économique due au Covid-19

1.  La crise économique due au Covid 19 Année 2020 (1) : Les effets de la crise

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente la crise économique due au Covid 19 qui a touché le monde en 2020. Il est expliqué que cette crise est sans précédent en période de paix avec une récession qui est la plus élevée enregistrée, ce qui se répercute avec une augmentation du chômage. Même si la crise a touché tous les secteurs, certains secteurs sont plus touchés que d’autres. Ce qui fait l’originalité de cette crise, en plus de son ampleur, est qu’il s’agit à la fois d’un choc d’offre et d’un choc de demande. Les mesures mises en place pour faire face à cette crise et les prévisions pour l’année 2021 seront présentées dans le numéro suivant.

2.  La crise due au Covid 19 Année 2020 (2) : Les mesures pour faire face à la crise

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente les mesures prises en 2020 pour faire face à la crise économique due au Covid 19 et présente les prévisions pour l’année 2021. Il détaille les mesures prises au niveau de l’Union européenne, en France et les plans de relance dans d’autres États. L’UE a mis en place un plan de relance de 750 milliards d’euros, la BCE a agit en augmentant ses achats de titres. En France, des mesures de soutien aux entreprises ont été prises pour soutenir l’offre et un plan de relance de 100 milliards d’euros est mis en place pour soutenir la demande. Des plans de relance sont également mis en place dans d’autres pays, nous décrivons ici les plans de relance aux États-Unis et en Allemagne. Enfin, nous parlons des perspectives pour 2021. Ce numéro est la suite du numéro précédent qui présentait les effets de la crise sur la croissance et le chômage.

3. Les débats concernant les mesures de soutien (I) : Pourquoi les États mettent en place des plans de relance ?

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente pourquoi les États mettent en place des plans de relance. Quand une crise économique frappe un pays, comme c’est le cas avec la crise due au Covid-19, la réponse des gouvernements est souvent de mettre en place un plan de relance budgétaire. Cela suscite des débats, notamment les questions de savoir comment cela fonctionne, est-ce que cela est efficace, quelles sont les critiques qui peuvent être faites. C’est ces débats sur lesquels se concentre ce numéro. Il est expliqué que le plan de relance est un concept issue des théories de Keynes. Pour cet auteur, quand la consommation et l’investissement privés ne sont pas suffisants pour atteindre le plein emploi, alors l’État doit intervenir en utilisant la politique budgétaire, c’est-à-dire en diminuant les impôts ou en augmentant les dépenses publiques. Il peut notamment mettre en place un plan de relance, consistant à mettre en place des investissements publics pour permettre de retrouver la croissance et de diminuer le chômage. La théorie explique qu’une hausse des dépenses publiques s’accompagne d’un effet multiplicateur, qui permet une hausse plus importante du revenu national. Les théories keynésiennes présentent toutefois des limites, notamment l’effet Ricardo-Barro ou équivalence ricardienne, l’effet d’éviction de l’investissement privé par l’investissement public et des limites dues à l’ouverture des économies. Ces limites viennent diminuer l’effet multiplicateur. En période de crise, les études montrent que l’effet multiplicateur fonctionne et permet de relancer l’activité. Les économistes keynésiens montrent que chacun des critiques à la théorie keynésienne peuvent être contestées. Les mesures de soutien à l’économie, que ce soit les plans de relance ou les différentes aides mises en place, suscitent également d’autres débats, notamment concernant la dette publique, ceux-ci seront traités dans d’autres numéros.

4. Les débats concernant les mesures de soutien (II) : La dette publique

Ce numéro d’Explique-moi l’économie présente les débats qui ont lieu autour de la dette publique. En raison de la crise économique due au Covid-19, la dette publique des États a fortement augmenté. Ainsi, des économistes soulignent le risque d’insolvabilité qui se traduirait par une impossibilité pour les États de rembourser leur dette publique, notamment en raison de l’effet boule de neige. Pour répondre à ces critiques, des économistes expliquent que les investissements dus au plans de relances actuels servent dans le long terme, ainsi la dépense a lieu à présent pour soutenir l’économie mais les investissements seront amortis sur les années d’utilisation. De plus, les États empruntent à des taux très bas, ce qui éloigne le risque d’insolvabilité. Un autre débat en Europe concerne la question de savoir s’il ne faudrait pas annuler la partie de la dette publique détenue par la BCE. Pour les défenseurs de cette idée, cela permettrait aux États de mettre en place un plan de relance bien plus important. Pour les opposants, cela serait contraire aux traités et ne semble pas utile parce que les États empruntent à des taux très bas.

5. Les débats concernant les mesures de soutien (III) : Le risque de zombification de l’économie

Ce numéro de Explique-moi l’économie développe un débat découlant des mesures de soutien à l’économie, la multiplication des entreprises zombies, entreprises maintenue par les mesures de soutien qui auraient fait faillite s’il n’y avait pas eu la crise. Après avoir montré que ce risque existait déjà avant la crise due au Covid-19, nous développons que la crise actuelle risque d’augmenter le nombre d’entreprises zombies en raisons de trois éléments : la baisse du nombre de faillites, la baisse des taux d’intérêt auxquels les entreprises empruntent et une hausse de l’encours des crédits. Toutefois, nous verrons que le risque de zombification de l’économie est pour certains auteurs exagéré. En effet, le nombre d’entreprises zombies seraient limité, les mesures de soutien à l’économie bénéficient à la majorité des entreprises et les aident à faire face à la crise, des solutions existent pour éviter une hausse des entreprises zombies.

6. Crise économique et Covid-19 : Année 2021

Ce numéro de Explique-moi l’économie revient sur la crise économique liée au Covid-19 en 2021. Nous expliquons que l’année a été marquée par une reprise économique partout dans le monde, avec un retour de la croissance et une augmentation du commerce international, bien que des inégalités se retrouvent entre certains États. Cette reprise de la croissance a permis au chômage de diminuer. La première moitié de l’année est caractérisée par un maintien des mesures de soutien à l’économie, notamment par un troisième plan de relance aux États-Unis. Néanmoins, en raison de cette reprise, les mesures de soutien se sont réduites dans la deuxième partie de l’année. Par exemple en France, le quoi qu’il en coûte a cessé. Toutefois, plusieurs aspects représentent une menace pour la reprise. Un premier aspect est le retour de l’inflation, notamment des matières premières et de certains produits agricoles. Tandis que certains s’inquiètent d’une spirale inflationniste, plusieurs prévisions semblent montrer que cette hausse des prix ne serait que temporaire. Un deuxième aspect est les problèmes d’approvisionnement qui touchent tous les secteurs. Plusieurs causes expliquent cela, notamment les confinements dans certains pays, les retards dans les ports et la hausse de la demande. Enfin, la grande incertitude caractérisant la situation est mise en avant.

La crise de la dette dans la zone euro

1. La crise de la dette dans la zone euro (I) : comment la crise a-t-elle commencé ?

Il est décrit comment la crise de la dette dans la zone euro a commencé. Pour cela, il est vu comment la crise des subprimes est passé d’une crise financière aux Etats-Unis à une crise économique mondiale, puis il est expliqué que les Etats ont mis en place pour y faire face des plans de relance, enfin il est montré que dans la zone euro, le niveau de dette publique a mené à la crise de la dette, notamment en Grèce.

2. La crise de la dette dans la zone euro (II) : le renforcement de la coordination budgétaire

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente comment les États européens ont renforcé les différents mécanismes de coordination budgétaire avec des règles de politique budgétaire. Le Pacte de stabilité et de croissance (PSC) est présenté, puis il est détaillé les mécanismes le renforçant avec le Pacte de stabilité et de croissance renforcé et le two pack, le Traité sur la stabilité, la coopération et la gouvernance (TSCG ou Pacte budgétaire européen) est développé.

3. La crise de la dette dans la zone euro (III) : les politiques d’austérité budgétaire

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente les politiques de rigueur menées en Europe à partir de 2010. Il est expliqué ce qui justifie les politiques d’austérité, puis il est montré que les dépenses publiques ont diminué et les recettes augmenté, enfin les résultats de l’austérité sont présentés.

 4. La politique monétaire de la BCE (I) : Les instruments traditionnels de la politique monétaire

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente la politique monétaire traditionnelle de la Banque centrale européenne. Après avoir présenté les objectifs de la BCE, il est présenté les instruments traditionnels pour atteindre les objectifs, les taux d’intérêt directeurs et les réserves obligatoires. Il est expliqué qu’après la crise de 2008, les taux ont été réduit au minimum.

5.  La politique monétaire de la BCE (II) : Les mesures non conventionnelles de politique monétaire (1/2)

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente les mesures non conventionnelles de politique monétaire menées par la BCE. Il est présenté ce qui justifie les politiques non conventionnelles, les principales mesures sont données avec le forward guidance, le credit easing, le quantitative easing et le programme d’achat d’obligations du secteur privé.

6. La politique monétaire de la BCE (II) : Les mesures non conventionnelles de politique monétaire (2/2)

Ce numéro de Explique-moi l’économie présente les mesures non conventionnelles de politique monétaire menées par la BCE. Il est présenté les différents programmes d’achats de titres privés et publics menés par la BCE, notamment le programme d’achats de titres publics et privés menés depuis 2015, et les résultats de ces politiques.

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